Catégorie : CNT-AIT : QUI SOMMES NOUS ?

Textes de présentations de la CNT-AIT

LA FABRIQUE DE L’OPINION : TENTATIVE D’ENFUMAGE GAUCHISTE

La direction d’Utopia, fortement agacée de la révélation publique de ses pratiques managériales, se devait d’allumer des contre-feux. S’ils utilisèrent pour cela leur gazette (30 000 exemplaires diffusés …), des individus et des organisations dont certaines se réclamant du syndicalisme révolutionnaire voire du mouvement libertaire, jouèrent complaisamment les pompiers d’Utopia, gauchistes – sans que l’on sache […]

CRACHER DANS LA SOUPE ET MORDRE LA MAIN QUI NOURRIT

Le Combat Syndicaliste Midi Pyrénées, Février Mars 2007, numéro 99 De nombreux militants syndicalistes et politiques se sont donnés beaucoup de peine, depuis près de deux ans, pour expliquer combien cette affaire n’en valait pas la peine. Cela, y compris dans des milieux se déclarant révolutionnaires, se revendiquant de l’anticapitalisme voire des idées libertaires. Le […]

When swedish SAC choosed the « free world camp » and US capitalism during Cold war ..

« The fight against war » Evert Arvidsson’s article in Dagstidningen Arbetaren (SAC’s magazine), published in 1956 The activity of the SAC in the cause of peace is as old as the organization itself. Probably, there is no movement in our country that has proportionately done such a great job for peace and international fraternization as the […]

MORT AUX VACHES ! – APERCU SUR LA RESISTANCE DES ANARCHISTES DE MARSEILLE A TOULOUSE …

Chaque année depuis le 8 mai 1945, « la France » fête sa libération du joug Nazi.

Le pouvoir, en mal de « cohésion sociale » [1], cherche désespérément à sauter sur l’occasion pour montrer que le « peuple français » a su, dans ses périodes les plus sombres se serrer les coudes – et aussi la ceinture …

A ceux qui se plaignent de leurs petites vivicitudes matérielles quotidiennes de 2004, il leur est servi matin, midi et soir par la presse, la radio et la télé nationale la geste héroïque de la résistance française de 1944, qui nous est donc présentée comme un exemple à suivre. Nos aieux en ont chié en 40 et ils n’en ont pas fait tout un flan. Car quand il l’a fallu, tout gonflés de rutabaga et d’esprit patriote, ils ont su s’unir pour faire face. Et « l’opposition » d’emboîter le pas à l’action psychologique de propagande du gouvernement puisqu’ils n’ont rien trouvé de mieux que de réclamer le retour au Programme du Comité National de la Résistance ! [2]

Bref, tout ça fleure bon l’Union Sacrée et le bourrage de mou … Car contrairement à la légende que l’on voudrait nous faire gober, les résistants n’était pas légion dans le « peuple français » et d’ailleurs beaucoup des résistants n’étaient même pas français !

Et en plus, un certains nombres n’étaient même pas des patriotes ! Rendez vous compte !

Nous vous livrons ci-après le témoignage d’un de ces résistants libertaires, Andre Saulière dit Arru qui – de Marseille à Toulouse, avec des compagnons sénégalais, juifs russes, italiens, espagnols, … – continua le travail de sape idéologique du système, sur des bases clairement anarchistes internationalistes.

Un exemple, très actuel en effet, pour ceux qui – comme nous – pensons que la Liberation totale, celle du capitalisme, n’a pas encore eu lieu …

D’où vient le symbole du Chat Noir anarchiste ?

Si depuis une quinzaine d’année le logo du chat noir hérissé – popularisé par la CNT – est de plus en plus présent dans les manifestations anarchistes en France, son origine reste encore souvent mystérieuse.

Beaucoup de théories et de légendes circulent à son sujet. Voici donc notre contribution à ce débat, en cette journée internationale des chats.
Indubitablement le logo du Chat noir hérissé nous vient des Etats Unis. Il était représenté sur les affiches des IWW (industrial workers of the world, organisation « industrialiste » – concept proche du syndicalisme révolutionnaire mais qui se distingue par une organisation très centralisée en fédérations d’industries lesquelles doivent converger dans un Grand Syndicat Unique « One Big union » qui sera amené à réorganiser la société post-révolutionnaire).

Sur les premières affiches des IWW au début du XXème siècle, le chat noir est toujours associé au terme de sabotage

II. L’isolement de la CNT-AIT (années 1950-1973)

jeudi 19 octobre 2006 Au cours des années 50, l’organisation s’isole et se marginalise de plus en plus. Elle devient une section française de la CNT espagnole en même temps que se manifeste la solidarité avec les Espagnols dans la lutte anti-franquiste. Réduite à un simple noyau de militants, les évènements de mai 1968 mettent […]

Les Anarchistes, pionniers de la lutte anti-colonialiste

D’après un extrait de l’articlede Benjamin STORA :  » »La gauche socialiste, révolutionnaire et la question du Maghreb au moment du Front populaire (1935-1938 ) » » in la revue ADEN 2009
Les héritiers de la tradition anticoloniale

Face aux défenseurs de la présence française au Maghreb, de petits courants du mouvement ouvrier français se dressent. Qui sont-ils ?

PROTESTATIONS ANARCHISTES CONTRE LE CENTENAIRE DE LA CONQUETE DE L’ALGERIE (1930)

CGTSR-AIT, Section Algérienne
A l’opinion publique

Au moment où se déroulent, avec un faste inouï, les fêtes du centenaire de la conquête de l’Algérie, il a paru aux Algériens résidant en France qu’il était utile, indispensable même, de faire entendre à l’opinion publique métropolitaine quelques vérités au milieu du concert de louanges officielles qui tend à couvrir de son bruit les plaintes d’un peuple qui souffre.

Certes, il serait beau de commémorer un centenaire si celui-ci avait pour but de magnifier un bel acte : l’affranchissement du peuple algérien. Malheureusement, le centenaire que l’on fête, en Algérie, n’a pas cette haute signification.

EN MEMOIRE DE MARGUERITE ASPES, MILITANTE DE LA CGTSR-AIT D’ALGER DES ANNÉES 30

Ci dessous un article du Cheminot Indépendant d’Alger, qui évoque la mémoire de Marguerite Aspès, militante anarchosyndicaliste de la CGTSR-AIT à Alger dans les années 1930.
Il nous a semblé que la mémoire de cette féministe anarcho-syndicaliste gagne à être honorée. On verra que les temps changent mais pas les mentalités, ni celle des policiers qui font toujours la cherche inlassable aux « anarchistes-terroristes » et aux « agitateurs », ni celle des « Unitaires » dont il est question dans l’article et qui sont les militants de la CGT-U (U comme unitaire), c’est à dire les communistes.

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