Catégorie : SOLIDARITE INTERNATIONALE

ULAC SMAH ULAC – NESSUN PERDONO : L’insurrezione in Algeria è anche la nostra

INSORTI ALGERINI,

La lotta che, dall’aprile 2001, state portando avanti contro tutti i dirigenti della società è un esempio per noi e per tutti gli sfruttati. Le vostre sommosse ininterrotte hanno dimostrato che il terrorismo dello Stato e dei gruppi integralisti, alleati da un decennio nel massacrare i poveri a beneficio dei ricchi, non ha piegato la vostra fierezza.

Sail Mohamed, LIFE AND REVOLT OF AN ALGERIAN ANARCHIST

Sail Mohamed Ameriane ben Amerzaine was born on 14 October 1894 at Tarbeit-Beni-Ouglis in the Berber region of Kabylie, Algeria.

Like many Algerians, he recieved little schooling. A driver-mechanic by trade, all his life he thirsted for culture and took great pains to educate himself. From a Muslim Berber background, he became a convined atheist. During the First World War he was interned for insubordination and then desertion from the French Army. His sympathies for anarchism were already developing.

A bas le code de l’indigénat ! Egalité totale des droits !

Au nom du groupe des anarchistes algériens, nous recevons de notre bon camarade Saïl Mohamed l’article suivant que nous insérons bien volontiers, car il rappelle opportunément aux dirigeants du gouvernement du Front populaire l’immense travail qui reste à accomplir dans ce que les patriotes de toutes espèces appellent la France d’outre-mer, pour faire des indigènes au moins des égaux politiques de leurs “protecteurs” français. En Afrique du Nord, en A.O.F. comme en A.E.F., à Madagascar comme en Indochine, “des dizaines de millions” d’indigènes attendent que soit mis fin à l’odieux régime d’exception qui les opprime. Là au moins, le gouvernement de Front populaire peut facilement accomplir la tâche urgente qui s’impose. Il n’a qu’à s’inspirer des méthodes que préconisaient dans l’opposition ceux qui le composent aujourd’hui…

EN MEMOIRE DE MARGUERITE ASPES, MILITANTE DE LA CGTSR-AIT D’ALGER DES ANNÉES 30

Ci dessous un article du Cheminot Indépendant d’Alger, qui évoque la mémoire de Marguerite Aspès, militante anarchosyndicaliste de la CGTSR-AIT à Alger dans les années 1930.
Il nous a semblé que la mémoire de cette féministe anarcho-syndicaliste gagne à être honorée. On verra que les temps changent mais pas les mentalités, ni celle des policiers qui font toujours la cherche inlassable aux « anarchistes-terroristes » et aux « agitateurs », ni celle des « Unitaires » dont il est question dans l’article et qui sont les militants de la CGT-U (U comme unitaire), c’est à dire les communistes.

Qui était Marguerite ASPES ?

Marguerite Aspès, dont le frère aîné Charles était également un militant libertaire, était membre au début des années 1930 de la CGTSR–AIT à Alger. Ses grands parents étaient des immigrés italiens de Venise et de Milan -le grand père Carlo (1830-1894) avait combattu avec Garibaldi- et son père Charles (1859-1934) travaillait comme menuisier ébéniste.

Sail Mohamed adalah seorang anarkis asal Aljazair

Sail Mohamed adalah seorang anarkis asal Aljazair yang ikut terlibat dalam Perang saudara Spanyol. Ia bergabung dengan tentara kolonial Prancis, kemudian ia pun pindah ke Prancis, dimana ia menjadi aktivis organisasi anarkis Union Anarchiste (UA) dan Confédération générale du travail syndicaliste-revolutionnaire (CGT-SR / IWA) dan juga ia menjadi salah seorang pendiri (pada tahun 1923) bersama temannya Sliman Kiouaneof sebuah organisasi Komite Pembelaan Warga Asli Aljazair. Ia adalah seorang anti-Stalinis yang penuh gairah, ketika ia dituntut oleh pihak otoritas Prancis untuk artikel anti-militeris-nya. Pada tahun 1936, di bergabung dengan Sébastien Faure Century, kelompok (berbahasa Prancis) yang merupakan bagian dari Pasukan Durruti, milisi libertarian anti-Franco di Spanyol.

Serbie: les anarcho-syndicalistes soutiennent la mobilisation environnementale contre la minicentrale hydraulique de Rakita

Les militants de l’Initiative Anarcho-Syndicaliste (ASI-AIT, section en Serbie de l’AIT – Association internationale des travailleurs) ont pris part à une manifestation à Belgrade contre la construction d’une mini-centrale hydroélectrique le 27 janvier.

RUSSIE : Manœuvres nationalistes contre révolte populaire

En Russie aussi l’Etat a décidé de porter un sale coup contre les retraites. La nouvelle réforme, qui rentre en vigueur le premier janvier 2019, inquiète particulièrement les femmes, qui craignent de se retrouver sans ressources à un moment de leur vie où trouver un emploi devient difficile et où elles jouent un rôle crucial dans les familles. Cet été, pour la première fois depuis la Révolution russe, le gouvernement russe a relevé progressivement l’âge de la retraite de cinq ans, le portant pour les femmes à 60 ans et pour les hommes à 65 ans. Dans un pays où les pensions sont maigres et l’espérance de vie plafonne à 66 ans pour les hommes et 70 ans pour les femmes, la nouvelle a entraîné une levée de boucliers et entamé la popularité de Vladimir Poutine. Mais la colère n’a pas pu déboucher, étouffée par les manoeuvres des politicards et les syndicats détournant la colère avec une demande de référendum.

Criminalisation des mouvements populaire, en Pologne aussi : pour traiter l’épidémie de grève à la Poste polonaise, la Direction appelle la Section Antiterroriste !

La première semaine de Février, une épidémie de « grippe du pigeon voyageur » ​​s’est propagée à plus de 40 bureaux de poste dans toute la Pologne. La grippe, qui se caractérise par un malaise général, est causée par le surmenage dû aux mauvaises conditions de travail et a un impact important sur la santé. C’est pourquoi un appel a été lancé aux postiers, leur conseillant de consulter leur médecin, ce qui a entraîné un grand nombre d’arrêts maladie totalement justifier pour surmenage – ou burn-out pour faire plus moderne. Dans certaines villes, un tiers du personnel est absent et dans certaines villes plus petites, tout le personnel a même parfois été arrêté.

Au cours des derniers mois, des personnes de différentes professions – telles que les enseignants – sont « tombées malades ». De telles actions sont considérées comme un moyen d’éviter les lois très prohibitives en Pologne concernant les grèves légales et aussi de contourner les syndicats qui souvent découragent toute action décisive des travailleurs.

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