Actualité de l'Anarchosyndicalisme

Guerre d’indépendance de l’Algérie : Chair à canons pour boucherie politique

Comprendre le sens du 17 octobre 1961 ne peut reposer que sur l’analyse de ce qui s’est joué côté gouvernement français

Un choix de la direction du FLN

Pour les raisons qui sont indiquées et soulignées dans le texte ci-dessus, la tension, en octobre 1961, était extrême. La direction du FLN pouvait-elle ignorer dans ces conditions, que l’État opposerait à toute manifestation de masse, même non violente, une répression farouche ? A-t-elle fait le choix, par calcul politique (pour ne pas laisser tout le bénéfice de la future victoire à la seule Armée de libération nationale, pour conserver sa main mise -une main de fer- sur l’immigration algérienne, continuer à percevoir l’impôt révolutionnaire obligatoire, contrôler les individus…) de s’offrir quelques « martyrs » ? Rien n’est exclu. Mais cette hypothèse a pour elle que l’instrumentalisation de la mort d’innocents à des fins politiques, cela faisait partie de la stratégie du FLN, c’était le penchant psychologique de la guerre. En tout cas, force est de constater que dans les commémorations, les pro-FLN font chaque année un effort conjoint dans ce sens, quitte à pervertir l’histoire et à tenter de faire passer le FLN pour une organisation respectable, luttant contre le « fascisme » et la « liberté ». Il n’en est rien.

Les Enfants de Moissac : une leçon de désobéissance pour aujourd’hui !

Cela fait 80 ans cet été que démarrait une aventure extraordinaire : celle qui, malgré le joug imposé au pays par l’Etat Français du Maréchal Pétain puis directement par l’occupant nazi, allait permettre à un demi-millier d’enfants et adolescents juifs d’échapper aux rafles, à la déportation, à la mort. Une histoire dont vous n’avez probablement jamais entendu parler, car les leçons qu’elle donne déplaisent à tous les pouvoirs [1].

Car contrairement à la version officielle qu’on essaie de nous faire gober, la Résistance et la protection des enfants juifs contre les déportation ne fut pas le fait de « policiers courageux qui choisirent le maquis » mais au contraire de gens très ordinaires qui ont désobéi à la police …

Mais, que vais-je faire de vous, bons « à rien » ?

« On n’est pas fatigués! » Mais si, je suis fatiguée…

Fatiguée d’être coupable et victime d’un libéralisme décomplexé de sa violence sur les personnes et sur la planète. Un libéralisme tellement décomplexé et soutenu qu’il est passé, ces derniers jours, d’indécent à obscène dans ma grille d’évaluation.

Alors, j’essaie de penser et d’agir, bien sûr, mais, je rêve aussi…

Ce matin, je me suis réveillée fatiguée. Je m’étais endormie en pensant à ce que serait la vie quand j’aurai gagné, persuadée que j’allais refaire le plein d’énergie, mais, rien, pas d’énergie!

Faut dire que bêtement, dans mon lâcher-prise et mon enthousiasme à vivre cette nouvelle vie tellement sociale, joyeuse, libre… j’ai poussé jusqu’à me poser la question de la place de toutes ces personnes qui collaborent activement au système et qui gâchent la vie de la planète et celle d’au moins 75 % de sa population !

Dans ma nouvelle société, à quoi peuvent servir un Macron, un Castaner, une Le Pen, un Wauquiez, un Apathie et quelques milliers d’autres ?

Je veux dire : en quoi peuvent-ils être utiles ? En quoi peuvent-ils servir l’intérêt général Qu’est-ce qu’ils savent faire d’utile ?

D’où vient le symbole du Chat Noir anarchiste ?

Si depuis une quinzaine d’année le logo du chat noir hérissé – popularisé par la CNT – est de plus en plus présent dans les manifestations anarchistes en France, son origine reste encore souvent mystérieuse.

Beaucoup de théories et de légendes circulent à son sujet. Voici donc notre contribution à ce débat, en cette journée internationale des chats.
Indubitablement le logo du Chat noir hérissé nous vient des Etats Unis. Il était représenté sur les affiches des IWW (industrial workers of the world, organisation « industrialiste » – concept proche du syndicalisme révolutionnaire mais qui se distingue par une organisation très centralisée en fédérations d’industries lesquelles doivent converger dans un Grand Syndicat Unique « One Big union » qui sera amené à réorganiser la société post-révolutionnaire).

Sur les premières affiches des IWW au début du XXème siècle, le chat noir est toujours associé au terme de sabotage

Gerakan dan Ide Anarkisme di Indonesia

Suhairi Ahmad – detikNews Foto: IG daunmalam.katalog Jakarta – Judul Buku: Perang yang Tidak Akan Kita Menangkan: Anarkisme dan Sindikalisme dalam Pergerakan Kolonial hingga Revolusi Indonesia 1908-1948; Penulis: Bima Satria Putra; Penerbit: Pustaka Catut, 2018; Tebal: xxiii+ 225 hlm Anarkisme seringkali disebut sebagai biang kerok kekerasan dan ini sudah mencapai puncaknya di Indonesia. Media massa […]

NOUVELLE VAGUE DE REPRESSION CONTRE LES PRISONNIERES ET PRISONNIERS POLITIQUES EN IRAN

Neda NAJI est une étudiante, qui lutte pour les droits des travailleurs, et une actrice. Elle a notamment interprété le rôle de l’anarchiste russe Valentina dans un film biographique consacré à la vie de l’anarchiste Emma Goldman. Le 1er mai 2019, alors qu’elle participait à une manifestation non déclarée pour la fête des travailleurs, elle a été arrêtée avec 50 autres personnes (dont Marzieh AMIRI, Anisha ASADOLLAHI et Atefeh RANGRIZ). Depuis, comme les autre compagnons, elle est détenue par les forces de sécurité de la République Islamique d’Iran dans la sinistre prison de Qarchak (également connue sous le nom de Shahr-e Rey) à l’est de Téhéran.

NOVA ONDA DE REPRESSÃO CONTRA PRISIONEIRAS E PRISIONEIROS POLÍTICOS NO IRÃO

Neda NAJI é uma estudante que luta pelos direitos dos trabalhadores e uma atriz. Ela interpretou notavelmente o papel da anarquista russa Valentina em um filme biográfico dedicado à vida da anarquista Emma Goldman. Em 1 de maio de 2019, enquanto participava de uma demonstração uma demonstração não declarado às autoridades pelo dia dos trabalhadores, ela foi presa com outras 50 pessoas (incluindo Marzieh AMIRI , Anisha ASADOLLAHI e Atefeh RANGRIZ). Desde então, como outras companheiras, ela está sendo mantida pelas forças de segurança da República Islâmica do Irã, na sombria Prisão Qarchak (também conhecida como Shahr-e Rey), a leste de Teerã.

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