Tome 1 : de Ravachol à Mila, FOUT L’BON DIEU DANS LA MERDE !

Le blasphème, « Parole qui outrage la divinité, la religion, le sacré, et, par extension une personne ou une chose considérée comme quasi sacrée » selon le dictionnaire, est un acte de salubrité mentale qui a toujours fait partie de la pratique anarchiste.
Alors qu’aujourd’hui, y compris parmi les libertaires, on entends des discours tendant à vouloir restreindre cette liberté humaine fondamentale, il nous semble important de réaffirmer notre droit le plus sacré à cracher à la gueule de toutes les religions, de tous les dogmes.
Nous avons édité deux brochures pour rappeler aux trafiquants de mémoire, aux relativistes postmodernes et autres falsificateurs idéologiques que le blasphème fut pratiqué en tout temps et sur tous les continents où furent présents les anarchistes, et qu’ils entendent bien continuer car le combat contre la religion et ses dogmes n’est pas près d’être achevé.
Si tu veux être heureux, nom de Dieu, fout le bon dieu dans la merde !
Les brochures peuvent être téléchargées ici (tome 1) et là (tome 2). Pour les recevoir au format papier, adressez un chèque de 8€ à CNT-AIT, 7 rue St Rémésy 31000 TOULOUSE
TOME 1 : de Ravachol à Mila, Fout l’bon dieu DANS LA MERDE !
Si tu veux être heureux, fout l’bon Dieu dans la merde ! (La chanson du Père Duchesne 1892)
Dieu est-il un être ? S’il en est un c’est de la merde. (Antonin Arthaud + Maurice RAJFUS)
NOTRE DAME : ENFIN UNE EGLISE QUI ILLUMINE !
MAIS CHÂTREZ-LES DONC !
LA PESTE RELIGIEUSE (Johan Most)
Du Wahhabisme à l’athéisme : Abdallah Al Quassimi
A propos du « respect » : que messieurs les religieux commencent
L’obscurantisme est tout sauf respectable
Charlie Hebdo : après la tuerie (7 janvier 2015)
Ayons le culte de l’esprit critique
Camarades, contre l’État et contre tous les prêtres, Vive le blasphème !
LUMIÈRES D’AUJOURD’HUI EN PAYS MUSULMANS
Lettre de Cavanna aux culs-bénits
TOME 2 : EN ASIE NON PLUS ILS NE RESPECTENT RIEN !
Cliquer ici
Une réflexion sur « BLASPHEME ! Ces anarchistes ne respectent donc rien ! (1) »